Samedi 6 octobre des lieux inattendus et des artistes à découvrir ont mobilisé la foule parisienne, jusqu'au dimanche matin.
Le temps chaud accentuait le plaisir de découvrir les zones artistiques de la Nuit Blanche.
Si les files d'attente, les kiosques alimentaires ou la musique se trouvent partout, les performances et les lieux restent uniques : transformer la Géode en boule électrique, placer une piste de Rollerball entre Grand et Petit Palais, exposer dans une piscine (maillot de bain admis), ériger des totems de paille ou... parcourir le Zoo de Vincennes la nuit.
Au zoo une berceuse électronique tranquillisait les animaux encore visibles : vigognes, lamas, pingouins et autruches.
Ce n'était pas la musique du Scorpion.
Réunir autant de monde dans des lieux inattendus et à une heure extrême, pour découvrir des oeuvres artistiques semble une illusion.
Partager cette imagination en a fait une réalité.
Un discours sur le Panthéon l'explique bien.
Le temps chaud accentuait le plaisir de découvrir les zones artistiques de la Nuit Blanche.
Si les files d'attente, les kiosques alimentaires ou la musique se trouvent partout, les performances et les lieux restent uniques : transformer la Géode en boule électrique, placer une piste de Rollerball entre Grand et Petit Palais, exposer dans une piscine (maillot de bain admis), ériger des totems de paille ou... parcourir le Zoo de Vincennes la nuit.
Au zoo une berceuse électronique tranquillisait les animaux encore visibles : vigognes, lamas, pingouins et autruches.
Ce n'était pas la musique du Scorpion.
Réunir autant de monde dans des lieux inattendus et à une heure extrême, pour découvrir des oeuvres artistiques semble une illusion.
Partager cette imagination en a fait une réalité.
Un discours sur le Panthéon l'explique bien.
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